2. Milieu du dos
Si les démangeaisons restent localisées, surtout après les repas, elles pourraient être le signe d’un problème au niveau du pancréas, voire d’un cancer à un stade précoce.
3. Cuir chevelu
Des démangeaisons localisées derrière les oreilles ou à la base du cou, sans pellicules ni lésions visibles, peuvent être associées à une leucémie.
4. Poitrine
Des démangeaisons persistantes d’un seul côté, accompagnées de rougeurs ou de modifications de la texture de la peau (aspect « peau d’orange »), peuvent indiquer un cancer inflammatoire du sein, qui peut également toucher les hommes.
5. Région anale et organes reproducteurs
Des démangeaisons constantes dans cette zone, qui ne s’atténuent pas avec les traitements et s’aggravent la nuit, pourraient être liées à un cancer à un stade précoce. Il ne faut pas les ignorer par honte.
6. Paumes des mains et plantes des pieds
Si les démangeaisons n’apparaissent que dans ces zones, surtout la nuit, et que la peau présente une teinte jaunâtre ou des rides plus prononcées, elles peuvent être le signe de toxines internes liées à certains types de cancer.
Cinq étapes pour une auto-évaluation à domicile
Test après trois semaines : Si les démangeaisons ne s’améliorent pas après cette période, consultez un médecin.
Test avec lotion : Appliquez la crème pendant 7 jours ; en l’absence de soulagement, la cause pourrait ne pas être cutanée.
Examen des symptômes secondaires : perte de poids inexpliquée, fatigue extrême, fièvre ou sueurs nocturnes associées aux démangeaisons nécessitent une consultation.
Analyse du schéma : si les démangeaisons apparaissent toujours la nuit ou au même endroit, un problème interne est suspecté.
Antécédents familiaux : En cas d’antécédents de cancer chez les parents ou les frères et sœurs, le risque est plus élevé.
Conseils et recommandations
Ne négligez jamais les démangeaisons persistantes si elles ne répondent pas aux traitements habituels.
Surveillez le moment où elles apparaissent, la zone et l’intensité.
Consultez systématiquement un spécialiste, surtout si vous avez plus de 60 ans ou des antécédents familiaux de cancer.
N’ayez jamais honte de parler de vos symptômes intimes ; votre santé est primordiale.
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